La Seule Femme vraiment noire

• Charles Duits [auteurs]

La Seule Femme vraiment noire

Format : 12 x 17 • 400 pages • ISBN : 978-2-911991-88-2 • 25 €

Le 17 juin 1978, sous le saint regard du père Éternul, Charles Duits se lance dans un nouveau livre, « La Seule Femme vraiment noire », comme on se jetterait par la fenêtre mais en remplaçant l’asphalte… par l’inconnu.

« Un livre qui tient d'un château de cartes dont toutes les cartes sont des châteaux […] une expérience des plus étonnantes. »

Richard Blin, in Le Matricule des anges, n°177

« … Un vaste ensemble textuel à la portée significative et folle (…) La Seule Femme vraiment noire devrait surprendre son monde en le mettant au contact de la Déesse. »

L'Alamblog

Précédé de « Souvenirs de la Déesse », préface de son fils, Juste Duits.

C’est à la fois une œuvre littéraire, une expérience philosophique, et un parcours médiumnique. Une œuvre littéraire, sur laquelle l’auteur aura travaillé près de dix ans, qui se déroule comme une incessante vague, aux tourments logorrhéiques par moments ; une réflexion illuminée, aux accents philosophiques telles que la notion d’Inistence en opposition à l’Existence, et enfin la relation d’une liaison médiumnique, qui pourra sembler blasphématoire à certains, mais qui présente une liaison singulière et passionnée avec une entité divine, à la peau noire et de sexe féminin.

À l’heure de la littérature uniformisée et insipide, il est temps de lire un Duits foutrement rock’n’roll, dévergondé, libre et génial.

« Les Éditions Éoliennes, à Bastia, viennent de publier courageusement son grand livre posthume, La Seule Femme vraiment noire, œuvre étrange et ésotérique, dans laquelle il dit écrire sous la dictée de la déesse Isis, qui est la déesse suprême. […]  Quand le temps aura relativisé ses saillies provocantes, son génie apparaîtra crûment, et il restera comme celui qui, au vingtième siècle, couronnant l'œuvre surréaliste, aura créé une mythologie, aura parlé avec une déesse, qui est celle même qu'on dit être à l'origine de Paris – Isis. Tel Lovecraft, mais avec tout l'instinct sacrilège et satirique français, il aura défini un panthéon, où trône l'Africaine aux Dents de Lumière.  »


Le blog vaudois de Rémi Mogenet