peuple d'un printemps / pòpulu d’una branata
• Stefanu Cesari [auteurs]
Format : 13,5 x 20,5 • 192 pages • ISBN : 978-2-37672-030-0 • 21 €
Mention spéciale/Salon du livre insulaire d’Ouessant 2022
Prix des lecteurs de Corse 2022
« Les éditions Éoliennes nous proposent à nouveau un magnifique objet-livre d'une présentation des plus signifiantes, reproduisant en couleur dès la couverture ce cavalier de Pisanello issu d'un paysage pictural irréel incitant au rêve dont «le cerf rouge christophore» ouvrira la première porte de ce voyage initiatique : une allégorie invitant à découvrir le sens caché des choses. »
Emmanuelle Caminade / L'Or des livres
« Un ouvrage dont le récit, l'écriture et l'esprit se reconnaissent entre mille, comme la continuation, le prolongement, et peut être le point d'orgue des œuvres précédentes. […] Le poète sème ses allusions, lesquelles sédimentent en autant de strates imagées qui donnent son sens au récit et à la quête qui le mène, celle d'un " vrai lieu " à redécouvrir et où vivre à nouveau. […] Une écriture belle et sensible qui va l'amble du chevalier et du palefroi. Il suffit au lecteur de se mettre au diapason de sa marche pour en saisir toute l'originalité et la force envoûtante. »
Angèle Paoli
« Ce recueil en prose poétique de Stefanu Cesari constitue un moment clé de son œuvre dont il ne pouvait faire l’impasse. »
Marie-France Bereni-Canazzi / Musanostra
« Son dernier ouvrage qui vient de paraitre figure comme un long poème en prose au fil duquel se dévoilent des territoires insulaires à la fois familiers et fantastiques, ceux d’un pays qui attendrait encore qu’on le nomme, pour la première fois. Les langues y portent leurs espaces propres qui se répondent, s’opposent, dialoguant souvent, échangeant leurs paysages, donnant à entendre une multiplicité d’histoires enracinées en Méditerranée, et les chronologies s’y brouillent, les générations s’y mêlent au gré des épreuves, des jardins et des enfers… »
Philippe Jammes, CorseNetInfos
« Si tu voulais dresser la carte de ce pays plus étrange que familier si tu voulais qu’elle soit un itinéraire de la gauche à la droite comme un livre tu laisserais pousser depuis le noir tous les mots qui viennent d’aujourd’hui et d’autres temps, tu te servirais d’outils pour la saison nouvelle, pour écrire et tracer, surtout de tes yeux avant de demander au corps, pour voir ce qui demeure, de l’énigme des lieux, qui se répète sans cesse et se transforme, depuis le paysage, qu’un cavalier traverse. Quel peuple vivrait là, que tu voulais connaître ? Sa rencontre après l’épreuve, elle tiendra pour toi d’un rêve, d’une intime affection. »
Bilingue corse-français